Bourdieuville
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AuteurMessage
Benjamin Sirius




Messages : 1
Date d'inscription : 24/04/2018

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MessageSujet: *fire emoji*   *fire emoji* EmptySam 28 Avr - 23:17




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Nom — Sirius.
Prénom — Benjamin.
Âge — 21 ans.
Sexe — Masculin.
Race — Etoile.
Nationalité — Anglaise.
Occupation —Neet.
Orientation sexuelle — Il s’en fout.




physique

couleur des yeux — Yeux marrons très foncés ; couleur des cheveux — Cheveux noirs ; taille — 175cm ; poids — 65kg ; tatouages ou piercings — / ; cicatrices — Il s’est fait mordre au mollet par un chien quand il était petit. Ironique. ; style vestimentaire — Il préfère passer inaperçu et s’habiller confortablement. Il ne comprend pas tellement le sens de la mode de son frère, et préfère s’en éloigner le plus possible.


pouvoir


Nom du pouvoir — Combustion instantanée.
Description du pouvoir — Benjamin peut prendre feu. Il s’enflamme, il flambe, ; il se transforme en torche humaine en un claquement de doigts. De ce fait, il ne craint pas la chaleur, et traverser un incendie, c’est dans ses cordes. Le problème, c’est que ça peut se déclencher lors d’un violent accès de colère. Et c’est un peu dangereux. Mais en général, Ben maitrise son don, et va même parfois jusqu’à enflammer sa main pour menacer gentiment (et quelques fois plus brutalement) les gens.
Il peut maintenir le feu pendant un maximum de 10 minutes consécutives s’il enflamme entièrement son corps. S’il choisit une partie en particulier, il peut tenir plus longtemps. Mais en général, la combustion intégrale est fatigante, et il n’utilise plus son don de la journée.
En plus, quand il le fait, il a la certitude de finir nu après coup.
Pas qu’il s’en préoccupe, cependant.


caractère

Benjamin aime faire des choses dangereuses. Il aime tester la fragilité de son enveloppe corporelle, marcher au bord du vide, éprouver sa résistance, montrer la vulnérabilité de la vie humaine. Montrer que le lien, il peut casser en moins de temps qu’il n’en faut pour dire ouf. Cela dit, mourir, c’est pas dans ses plans immédiats ; il fait quand même attention. Il fait juste semblant, et il rigole quand il en parle. Il ricane. Il aime bien blaguer.

Ben se laisse porter par le vent. Il est plutôt suiveur, pas du genre à se casser la tête. Si on lui demande de faire quelque chose, il le fera, pour peu que ça lui apporte la tranquillité plus tard. Il aime qu’on lui foute la paix. Par contre, il n’aime pas foutre la paix aux gens ; il aime les emmerder, les mettre mal à l’aise en se collant à eux et en faisant des blagues douteuses, en se moquant durement, en glissant de gentilles menaces au milieu de conversations innocentes. Il aime bien aussi se glisser près des couples et leur taper la discute. Et prendre feu en live. Et il s’étonne encore qu’il ne sache pas se faire des amis facilement. Il n’est pas doué avec les gens.

Après, ça a peut-être un lien avec son visage. Il affiche perpétuellement un air fatigué, ennuyé, une mine qui veut dire « viens pas me parler. » En fait, dans sa tête, il pense probablement à son prochain repas, ou au chat qu’il a caressé un peu plus tôt, ou encore aux désastreux goûts vestimentaires de son frère. Il arrive qu’un petit rire étouffé lui échappe dans ces cas-là. N’allez pas croire qu’il est bizarre.

Ben est assez indépendant. Et il veut être libre. Il ne pourrait pas rester enfermé dans un bureau toute la journée, ou aller à la fac étudier je ne sais quoi. Alors il enchaîne les petits boulots, et il vit comme il veut. S’il veut dormir de 4 heures du matin à 17 heures, on l’en empêchera pas. Sauf si son frère le réveille. Même si c’est pour un truc idiot, comme regarder un Disney ou se moquer des gens qui passent dans la rue, il le fera.
Il aime beaucoup son frère.

Ben est un peu lunatique. Ses humeurs changent rapidement, parfois violemment, au moment où l’on s’y attend le moins. C’est difficile, d’avoir un corps humain. Il réagit bizarrement. Il se met en colère pour des idioties (comme de recevoir du ketchup au lieu de la mayonnaise dans un fast food). Il a peur de choses stupides (c’est pourquoi on ferme les portes à clé la nuit). Il pleure sans raisons, le soir.
(Cela dit, il y a une raison à ça. C’est le mal du pays.)

En général, Benjamin réfléchit avant de parler. Mais il finit toujours par sortir la réplique la plus détachée qu’il puisse trouver. La phrase la plus nonchalante. Sauf s’il veut se montrer méchant, sauf s’il est en colère, et que la haine étreint momentanément son cœur. Sauf s’il se souvient de pourquoi il est là. Il se montrera mordant, sifflant, crachant des mots durs au visage de son interlocuteur.
Sauf si le sujet l’intéresse, sauf s’il est sérieux et impliqué, sauf s’il parle avec son frère. Il sera alors l’être le plus doux et attentif au monde.


histoire

Sirius A, Sirius B, Sirius C.

Sirius A et Sirius B sont tombés, et la constellation du chien était soudain dépeuplée.
Perdus au milieu de Londres, dans leurs corps d’enfants de 6 ans, les jumeaux ont rapidement été placés en orphelinat. Ça n’était pas leur véritable âge, mais plutôt une estimation basée sur leur apparence physique. Ils n’ont cependant jamais été adoptés. Peut-être parce qu’adopter deux enfants d’un coup, c’est trop de responsabilités. Ou peut-être parce qu’ils parlaient de choses que l’on ne pouvait pas comprendre. Ou encore parce que l’un des garçons adressait un regard assassin à ceux qui avaient l’air de leur porter de l’intérêt.

Lorsqu’il a eu 9 ans, Benjamin, pris d’un accès de colère, enflamma sa main gauche. La cantinière en lâcha sa cuillère, et n’obligea plus jamais le garçon à finir ses légumes. Suite à cet incident, si le personnel de l’orphelinat ne manifestait pas vraiment de peur, ils se montraient tout de même méfiants à l’égard des jumeaux. De nos jours, on entend beaucoup parler d’êtres aux pouvoirs spéciaux ; et si l’un des deux frères en était capable, l’autre le pouvait sans doute également, non ? C’est ainsi que la surveillance sur Arthur et Benjamin s’accentua. Mais le don d’Arthur ne se manifestait toujours pas.
Jusqu’à ce qu’ils atteignent l’âge de 15 ans.

Ceci dit, l’apparition de dons spéciaux chez les jumeaux confirma une théorie que le directeur de l’orphelinat entretenait depuis quelque temps. Les garçons étaient des étoiles, tombées sur Terre pour protéger un humain. Alors quoi de mieux que de les envoyer à Hoshikami, la capitale des étoiles ? Sans manifester de désaccord, les jumeaux se retrouvèrent dans un pensionnat partenaire de leur orphelinat, au Japon. Pendant 3 ans, ils suivirent des cours bien gentiment, et apprirent le japonais également.

A 18 ans, ils prirent leur indépendance relativement aisément, en recevant une aide financière spécialement pour les orphelins, de la part du gouvernement britannique. Prise d’indépendance, ça veut dire travailler, payer des factures, des impôts, un loyer. Les jumeaux choisirent un appartement ensemble ; Benjamin squattait le canapé de ce qui était officiellement la résidence d’Arthur. Plusieurs fois, son frère lui avait proposé de chercher plus grand, pour qu’il ait une chambre à lui. Non merci. Dormir sur le canapé, ça lui apportait une certaine liberté, disait-il. Il pouvait rentrer à 5 heures du matin, s’étaler sur le canapé, et se réveiller 3 heures plus tard pour déjeuner. D’ailleurs, ça collait plus aux horaires de travail de Benjamin. Très aléatoires.
Un quotidien bien banal. Mais ça ne pouvait pas continuer ainsi.

Voyez-vous, Benjamin cache une blessure. Cette blessure s’est mue en forme de haine, en soif de justice, et en besoin de liberté. L’étoile ne peut pas oublier son existence passée dans l’espace, sa maison là-haut dans le ciel. Il ne peut pas pardonner le lien qui l’attache à quelqu’un, le lien qui fait que sa vie dépend de quelqu’un d’autre. Alors il a fait l’idiot. Il a contacté le crépuscule.


« A genoux. Les mains derrière la tête. Prise d’otage. » avait-il lancé de sa voix trainante, étouffée par le masque chirurgical qu’il portait. Ça avait cependant suffit à ce qu’on l’entende ; cela dit, peut-être que l’arme au poing y était pour quelque chose. A moins que ça ne soit à cause des deux gugusses armés eux aussi qui l’accompagnait ? Allez savoir.

Vous savez, le lien qui unit étoiles et humains n’est sans doute pas si fort que ça. Il a des défauts. Et si un humain mourant était lié à une jeune étoile ? Et si l’égoïsme d’un humain prenait la vie d’un astre innocent ? Et si je vous collais une balle dans le crâne, maintenant ?
Telle était le discours qu’ils tinrent. Ça revient à prendre deux vies pour une.

Il y eut des hurlements, des pleurs, hystériques. Et ridicules. Benjamin ne menait pas l’opération ; c’est pas son genre de diriger. Mais quand on lui demanda d’abattre un humain, il abaissa son masque, et s’exécuta sans discuter. Peut-être qu’avec ça, l’étoile divine baisserait les yeux sur eux. Peut-être qu’elle comprendrait que les choses ne se déroulent pas comme il le fallait. Cela dit, leur plan ne se déroulait pas non plus comme prévu ; la police arrivait plus tôt que ce qu’ils avaient espéré.

Les trois preneurs d’otages s’enfuirent précipitamment. Sans finir le travail proprement. Les caméras de vidéosurveillance auraient dû être désactivées, les enregistrements détruits ; mais le temps de réaction des forces de l’ordre les avaient pris au dépourvu. Et voilà que leurs visages sont connus des autorités, bêtement, connement. C’était pas l’opération la plus réussie du monde. Néanmoins, cet acte de violence a réveillé en lui un besoin d’adrénaline et de revanche. Il veut en finir avec le lien pour rentrer chez lui, pour protéger son frère, et pour ne plus avoir à dépendre de qui que ce soit. Retrouver sa vie d’avant.
Il y eut quatre morts, deux blessés, et pas mal de gens traumatisés, à ce qu’il parait.

Ouais, il a fait des conneries, et il n’y a pas de quoi en être fier. Pourtant, il n’en éprouve pas de honte, ni de malaise. Il n’en est pas pour autant satisfait ; c’est juste… Banal. Voilà.

Il s’est planqué chez Arthur, qui l’a protégé et dissimulé pendant plusieurs semaines.
Il fallait maintenant prendre ses responsabilités.




FIGHT ME



Pseudo — Flan.
Vous; en cinq mots — Stress | Sommeil | Chiens | Jeuxvidéos | quoi. (je sais pas parler de moi alors pouet) (je fais plus de 5 mots mais ce qui est entre parenthèses ça compte pas ! c'est comme si je chuchotais ! Cool )
Personnage sur l'avatar — Matsuno Ichimatsu | Osomatsu-san.
Comment avez-vous découvert le forum — Je pèse dans le milieu.
Présence ( /7) — π/7.
Pedobear ou bisounours — Pokémon (non en vrai je sais pas donc les gens qui me connaissent devront choisir pour moi sorry i don't make the rules)
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http://hoshikami.forumactif.org




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