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AuteurMessage
Caleb Tacchioni




Messages : 1
Date d'inscription : 24/04/2018

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MessageSujet: money money money   money money money EmptySam 28 Avr - 23:58

(2013)




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Nom — Tacchioni
Prénom — Caleb
Âge — 24 ans (mort en 2011)
Sexe — Masculin
Race — Humain
Nationalité — Italo-américain
Groupe — Humain (Avarice) (nos groupes c'était les pêchés capitaux)
Occupation(je sais plus, gigolo?)
Orientation sexuelle — Bisexuel.




physique

couleur des yeux — noirs ; couleur des cheveux — noirs ; taille — répondre ici ; poids — répondre ici ; tatouages ou piercings — répondre ici ; cicatrices — répondre ici ; style vestimentaire — répondre ici.
Caleb était un jeune adulte de 24 ans, plutôt grand, assez mince, et toujours souriant. Pour diverses raisons, on en conviendra. Il n'était pas musclé, et s'habillait sobrement, en général d'un pull ou d'un T-shirt blanc, beige ou gris (une couleur claire, en somme), et d'un jean. Sa silhouette paraissait toujours relaxée, presque avachie. Aux yeux de certains, ce comportement, ajouté à son sourire hypocrite et déstabilisant n'est que provocation. Pour certaines raisons personnelles, Caleb portait un masque. Il n'était fait que de papier, et représentait un chat. Caleb trouvait cet animal fascinant, souple, mystérieux et, il faut le dire, dangereux. Surtout pour les rongeurs. En dessous de son masque, son visage est plus que banal, affichant son air narquois. Ses yeux sont bleus, et ses cheveux bruns. Ceux ci sont toujours en désordre. Caleb avait l'habitude d'utiliser la technique de la main passée dans les cheveux pour les coiffer. Il était donc une personne au physique normal, exceptée cette histoire de masque. On aurait même pu dire qu'il était beau garçon, sans. Heureusement qu'on ne l'a pas défiguré.


caractère

(c'est quasi illisible tellement c'est moche je pleure)
Caleb avait l'habitude de manipuler les femmes, de s'amuser avec elles, afin d'obtenir ce qu'il voulait. Il a également eu des relations intéressées avec des hommes. Tout ça, c'était sans sentiments. Ce n'était pas grave, rien ne manquait dans sa vie à ses yeux, pas besoin d'amour ou quoique ce soit. De toute façon, il ne s'intéressait qu'aux richesses et largesses que telle ou telle personne pouvait répandre. Et dans ces cas là, il faisait son possible pour se rapprocher de cette personne. Vous appeleriez ça de l'extorcation de fonds passive. C'était juste son intêret, puisque selon lui, l'argent fait le bonheur. De toute façon, c'était dans sa nature de s'amuser. Un rien le faisait rire. Surtout le malheur des autres. En parlant de son rire, il trouvait attrayant de produire un faux rire, vide et sans émotions, déstabilisant pour les autres. Il s'en délectait. Pourtant, on ne peut pas dire qu'il fut méchant. Il lui est arrivé d'apprécier sincèrement certaines personnes, comme s'il avait eu besoin de ces gens pour son équilibre personnel. Il pouvaitt afficher un sourire chaleureux et parler d'un ton froid, mordant. Et l'inverse était également possible. A cela, on peut ajouter que Caleb aimait gagner. Il en faisait une priorité, une nécessité absolue, jusqu'à en tomber malade en cas de défaite. Le jeu est au centre de son univers, et il n'hésitait pas à se jouer de tout, à mentir et à bluffer. Caleb était un menteur et manipulateur invétéré, quand ça pouvait l'arranger et lui sauver la mise. Il ne faut pas se laisser embobiner, c'est un conseil. Une fois endormi par le poison du monstre, impossible de faire machine arrière...


histoire

Caleb est né dans une famille heureuse. Epanouie. Et il ne ressentit aucun manque, ni malaise avec ses parents, jusqu'à ce que peu après la naissance de sa petite soeur, ses parents ne divorcent. Sa mère obtint la garde des enfants, et se remaria avec un homme prénommé Jack. Caleb avait alors six ans. Jack était un jeune homme, bien sous tous rapports, à qui on ne pouvait rien reprocher. Caleb, pourtant, de ses yeux d'enfants, le voyait comme celui qui avait brisé son confort quotidien aux côtés d'un père qui faisait fortune dans le domaine de l'immobilier, et d'une mère qui considérait ses enfants comme la prunelle de ses yeux. Alors, il se mit à le haïr de tout son coeur. Parallèlement, lorsqu'il entra en primaire, il se rendit compte d'un phénomène bien particulier aux cours de récréation. Le mensonge. Quand la cloche sonne, on parle avec ses amis. Et les enfants voulaient toujours se mettre en avant, jouant sur la surenchère. « Mon papa est riche ! Alors à Noël, on part tout le temps à la montagne, en France. » ; « Ma mère a été championne de danse quand elle était jeune. Elle a même connu Michael Jackson, promis juré ! » et d'autres histoires plus ou moins abracadabrantes faisaient le tour de l'école. Celle de Caleb était connue, et beaucoup y croyaient, notamment à cause de son nom de famille à consonance italienne. Caleb racontait à qui voulait l'entendre que ses parents étaient des mafieux qui envoyaient leurs sbires braquer des banques.

On racontait aussi beaucoup d'histoire de fantômes, ou d'horreur. Assez pour suciter cauchemars et phobies chez un enfant de huit ans. Le soir, Caleb ne voulait pas dormir, à cause des visages qui flottaient dans sa chambre. Il hurlait dès qu'on le laissait seul, crachait l'eau qu'il buvait, et l'air qu'il respirait, pour être le moins possible en contact avec l'air qui entourait les apparitions. Parfois, ceux ci lui parlaient, mais il ne comprenait pas. Et puis il y avait ce cauchemar, qu'il faisait fréquemment sans qu'il ne changeat jamais... Il se voyait, debout dans une chambre, dont le seul mobilier était un lit en plein milieu de la pièce, et une lampe suspendue au plafond. Qui était d'ailleurs plus haut que la normale. Et le seul souvenir que Caleb consevait de ce cauchemar était la noirceur ambiante, malgré la lampe allumée. Il était trop petit pour atteindre l'interrupteur, et bien qu'il sut qu'il ne servirait à rien de pousser le bouton, il s'acharnait à vouloir l'enfoncer. Puis une voix venait à lui, lui soufflait « C'est inutile... », et le petit garçon était aspiré vivant par le sol comme par un trou noir. Sa mère l'emmena à de nombreuses séances de psychiatrie, mais le cauchemar de la chambre subsista.

Quoiqu'il en soit, dans la cour de récré, Caleb s'était découvert un talent qu'il comptait bien utiliser, à son avantage. Il était doué pour mentir et embobiner les gens. Jack (et la mère du jeune garçon, par la même occasion) en fit les frais. Caleb raconta toutes sortes d'anneries à sa mère, se faisait pleurer, et lorsqu'il ajouta sa soeur dans le mensonge, c'en fut trop. Jack fut, injustement avouons le, chassé de la maison.
Bientôt, Caleb entra au collège. Là-bas, on avait peur de lui, on le craignait presque. Réminiscence de ses mensonges d'enfant. Il n'avait pas d'amis, mais il s'en fichait, tant que sa soeur et sa mère restaient à ses côtés. Dans l'enceinte de son établissement scolaire, il s'amusait énormement, aux dépends des autres. Et il s'investissait activement dans les cours de maths. Dès cet instant, selon lui, tout était calculable. Et calculer ses chances de réussir à tricher aux controles, par exemple, c'est très pratique, quand on n'a pas envie de perdre son temps. Aux yeux du corps professoral, Caleb restait un jeune garçon innocent, tout ce qu'il y a de plus normal, quoiqu'un peu solitaire.

A la maison, ce n'était pas la joie. L'argent ne manquait pas, mais c'était loin de l'opulence qu'avait connu le jeune homme. Plus le temps passait, plus il voulait s'arracher à son foyer de classe moyenne. Il ne voulait pas abandonner sa mère et sa soeur, mais à ses vingt et un ans, quand il put conduire, il partit. Il prit la direction de la ville où chacun peut devenir riche à millions. Las Vegas. Il promit de leur envoyer un tiers de ce qu'il gagnerait. Depuis son entrée au lycée, Caleb s'était énormément entrainé, notamment au poker. Il comptait sur le calcul, et sur sa chance. Tout avait toujours été de son côté, toutes les chances... La balle était dans son camp, et il comptait en profiter. Bien vite, il s'imposa comme un jour doué, très doué, peut être trop... Certains tentèrent d'évincer ce gamin avec ses grands airs, en lui proposant un jeu, par exemple. Caleb adorait les jeux. Lui et un autre joueur firent une partie de roulette russe. Caleb comptait sur sa chance insolante, et ne fut pas déçu. Son adversaire ? Et bien... Selon les règles du jeu, lui non plus n'est plus là pour en parler.
Le jeune garçon devint de plus en plus vénal. Il était ravi lorsqu'il gagnait, et rechignait à donner son dû au vainqueur, lorsqu'il perdait. Mais il ne subissait de défaites que rarement. En dehors de l'enceinte du casino, on tentait parfois de l'agresser physiquement. Parce qu'on le connaissait, et déjà deux ans après son arrivée à Vegas, on jalousait sa chance, son talent, sa manière de jouer, son succès. A ce moment, en guise de provocation, il se mit à porter un masque. Etant le seul à le faire, on le reconnaissait d'emblée, et cela le faisait rire doucement.

Il lui fallait plus. Toujours plus. Il fréquenta de nombreuses personnes, toutes plus généreuses les unes que les autres. Ces personnes, il les jeta comme de vieilles chaussettes. Puis un jour, sa soeur vint le voir. Elle voulait qu'il revienne vivre à la maison, plutôt que de vivre dans l'addiction du jeu et de l'appat du gain. Il refusa. Inconsciemment, jouer et gagner, plus, toujours plus, était devenu le but de sa vie. « Grand frère... Tu as changé. Je te déteste. Je déteste ce que tu es devenu. T'es juste complètement fou. Tu préfères gagner du fric que tu dépenseras même pas, le remettre en jeu... Tu nous as oubliées, maman et moi ! Tu me dégoutes. », c'est ce qu'elle lui cracha, avant de tourner les talons. Si Caleb eut un pincement au coeur, il n'en montra rien, et continua de jouer. Il s'essaya au black-jack, puis à la roulette, et à d'autres jeux. Et il gagnait. Sa présence commençait à faire l'ombre.

Un sale jour, en milieu de journée, il quitta le casino, et retourna à son loft pour se ressourcer. En pleine journée, parmi les touristes, et sous un soleil de plomb, il ne vit pas l'ombre qui le suivait. La chaleur écrasante brouillait sa vue. La dernière vision qu'il eut de la ville fut le trottoir, qui recontra son front après qu'un homme l'eut frappé à l'arrière du crâne.

Quand il se réveilla, il était en plein milieu d'un parking. Autour de lui, le désert. Ses paumes étaient moites, et le soleil cognait. Son T-shirt se collait à sa peau tant il était en sueur. Plus loin, une grosse voiture noire était garée. Quand ils virent qu'il était réveillé, trois hommes et une femme sortirent de la voiture. Les trois hommes étaient armés chacun d'une batte de base ball, et la femme portait un masque, identique à celui de Caleb. D'une voix qu'il lui semblait connaitre, elle leur ordonna de le tabasser. Ce qu'il firent.

Une fois qu'ils en eurent assez fait aux yeux de la femme, elle les stoppa d'un mouvement sec de la main. Puis elle s'accroupit près du jeune homme done les paupières étaient mi-closes. Elle lui dit d'une voix douce : « Tu sais, en fait j'ai besoin d'argent... Héhéhé, je ne pensais pas devoir en arriver là, mais on dirait qu'on ne se refait pas... On est pareils, toi et moi.». Sa dernière phrase n'était qu'un murmure, et alors elle retira son masque. Caleb reconnut sa soeur. Et il lui sourit, alors que celle ci pointait un pistolet sur son coeur. Il lâcha d'un ton narquois qu'il avait toujours été meilleur qu'elle à ce jeu là, comme à tous les jeux. Crispée, se mordant la lèvre, elle appuya sur la détente. Et le coup partit.

Maintenant, il va se réveiller. Sans qu'il s'y attende. Dans un monde qu'il ne connait pas. C'est une nouvelle vie.

(histoire à chier aussi lmfao byyye qui appelle son frère "grand frère" wtf??)




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