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 local babysitter is #done

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Zacharie Hingsley




Messages : 1
Date d'inscription : 24/04/2018

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MessageSujet: local babysitter is #done   local babysitter is #done EmptyDim 29 Avr - 0:10




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Nom — Hinglsey
Prénom — Zachary
Âge — 22 ans
Sexe — Masculin
Race — Sorcier
Nationalité — Anglais
Groupe — Humain (Sorcier étudiant ??)
Occupation — Etudiant
Orientation sexuelle — Asexuel




physique

couleur des yeux — Marrons ; couleur des cheveux — Bruns ; taille — grand ; poids — normal ; tatouages ou piercings — nope ; cicatrices — ayy je sais plus ; style vestimentaire — un truc classe ![/i]


pouvoir


Nom du pouvoir — Sorcellerie
Description du pouvoir — Avec une baguette, pew pew !


caractère

« Dormir, c’est une perte de temps. J’aime pas et j’en ai pas besoin. » proclames-tu fièrement, des trémolos dans la voix, deux minutes avant de t’écrouler de sommeil.
« Par contre, j’m’en fiche que ton copain aie décidé qu’il préfère sortir avec une gargouille plutôt qu’avec toi. » annonces-tu avant de tourner les talons, empêchant un « et je le comprends, d’ailleurs » de franchir tes lèvres. La méchanceté gratuite, tu réserves ça à ceux que tu ne supportes vraiment pas.
« Plus tard, je veux me marier dans une famille riche. » lances-tu dans le fil de la conversation, un sourire idiot aux lèvres, avant de t’esclaffer. « Non mais en vrai, je sais déjà ce que je ferais plus tard. Vous occupez pas de moi. »


T’es souple, Zachary. Pas ton corps, non,  ton esprit. Tu as été formé pour pouvoir t’adapter aux autres, observer leurs habitudes, leurs attitudes, puis adopter un comportement juste. Tantôt souriant, espiègle et blagueur, tu peux reprendre ton sérieux et ton calme olympien en quelques secondes. T’es encore jeune et con, alors t’aimes pas qu’on te gronde, qu’on te tire les oreilles ; et puis, tu prends ton rôle très au sérieux. Même si parfois, t’as l’impression d’être un babysitter, à toujours passer derrière Mademoiselle, réparer ses erreurs, ramasser ses cartes, lui ordonner de prendre son repas correctement, et la transporter du point A jusqu’au point B, parce que celle-ci a décidé que l’heure de dormir était venue. Et ce, bien que le contact physique ne t’enchante pas plus que ça.
Ouais, t’es souple, et tu passes les caprices des uns et des autres. Parce qu’on t’a appris à fermer ta bouche. Mais intérieurement, ça t’emmerde, les gens excentriques, qui font passer leurs lubies avant le bien commun. En général, tu te fais discret, silencieux, mais même si tu réfléchis avant de parler, y’a bien un moment où t’en peux plus. On dépasse les bornes. Et sans le vouloir, tu te montres trop franc. Dans ces rares cas, tu te montres impulsif. Et on te réprimande sévèrement sur ce point ; t’es pas censé donner ton avis, un point c’est tout. Reste comme d’habitude, sois sage, efficace et ordonné. Et tais-toi.
Cela dit, depuis que t’es à Poudlard, tu te sens beaucoup plus libre. Même si tu dois toujours te montrer vigilant et assurer la garde de Mademoiselle, tu peux te permettre plus de choses qu’à la maison. Tu te montres plus sociable, éloquent, t’élargis ton cercle de connaissances ; parce que mine de rien, t’aimes bien déconner et courir, bouger, sauter. A côté de ça, tu fais de ton mieux en cours, et tu continues de t’entrainer, comme on le requiert de ta part. Mais t’en profites quand même, de tes années scolaires à Poudlard. T’en profites parce que tu sais qu’en rentrant, chaque été, tu dois reprendre ton rôle, et tu te raidis chaque fois que t’y penses.
Pas que tu détestes ça, non. Faut dire que t’es un peu papa poule au fond, et t’occuper des autres, ça te dérange pas ; mais les environnements qui restreignent ta liberté, t’aimes pas. Pourtant, tu continues sans broncher. T’as pas l’intention d’abandonner, parce que tu sais que t’as de la valeur, en tant qu’être humain. Enfin, c’est ce que tu te plais à penser ; tu serais pas un peu présomptueux ?
Tu te permets d’agir différemment à Poudlard. Tu te montres un brin irrespectueux et sarcastique avec ta protégée, comme avec le reste de ton entourage proche. Tu ne fais pas très attention à ton apparence ; tes cheveux en pagaille t’indiffèrent, et tes frusques pleines de plis et non-repassées ne te préoccupent guère. Même Mademoiselle ne semble pas approuver. Au moins, tu es propre, et c’est le principal. Cela dit, à voir si on te laissera encore ton poste après la cérémonie de diplôme, avec un comportement et une attitude comme la tienne. Enfin, tu te dis qu’il suffit que tu corriges ça en face de tes employeurs.
Parlons-en de tes « employeurs », tiens. Ta famille d’accueil. En soit, ils ne t’ont pas maltraité. Ils t’ont même fourni une structure familiale correcte, un foyer, repas et amour. Sans doute. N’empêche que tu te montres distant avec eux. Tu te sens redevable, depuis que t’es tout petit. Et t’oses pas vraiment leur dire non ; si tu leur disais que plus tard, t’as envie de devenir commerçant ou pâtissier, sûrement qu’ils ne refuseraient. Mais t’aurais l’impression de trahir leurs attentes.
En fait, t’es un peu faux comme gars, Zachary, un peu faux et plutôt immature. Mais au moins t’es loyal, et on peut pas t’enlever ça, je suppose.


histoire

Une bribe de conversation, et une main dans la tienne ; c’est tout ce dont tu te rappelles.
« … pire qu’un bâtard. C’est une pièce rapportée. »

Et tu comprends qu’on ne veut pas de toi. Cette « maman » préfère te laisser pour plaire à son nouveau jules. A la suite de son remariage, celui-ci ne semblait pas te porter dans son cœur. Faut dire que t’es le gosse d’un autre que lui. Tu représentes quelque chose qui ne lui plait pas, et il faut t’éloigner. Alors ce monsieur, plutôt que de chercher à t’aimer et à devenir une figure paternelle pour toi, a préféré te refiler à quelqu’un, avec l’accord de ta mère. T’avais 5 ans.

« Entendu. Nous allons nous occuper de lui. En revanche, je ne veux plus vous revoir ; ni toi, ni elle. » répondit Monsieur Hingsley, acceptant ainsi de prendre l’enfant sous son aile. Madame Hingsley prit ta main dans la sienne, doucement, pour te guider hors de ce terrain quelque peu hostile. Les adultes allaient maintenant parler argent et pension, le nécessaire pour t’éduquer et t’élever comme leur propre fils. Et c’est ainsi qu’après quelques démarches administratives, tu devins Zachary Hingsley Owen.

Au début, tu te montres un peu distant, et tu garderas cette distance entre vous. Tu ne connais ni ton nouveau foyer, ni les gens qui l’habitent. Et c’est tout de même incroyable de penser que tu as ta propre chambre à toi tout seul, quand on sait qu’il s’agit d’un loft au cœur du centre de Londres. Globalement, tu ne manques de rien. On te fournit tout le nécessaire, on ne te déteste pas. Malgré tout, tu te sens un peu à l’écart. Tu te contentes au départ d’observer ton nouvel environnement, comme un animal sauvage, le temps de t’habituer à la vaisselle qui se fait toute seule, les crayons qui semblent animés de volonté propre et écrire de leur propre chef. Et puis il y avait madame Hingsley.
« J’ai pris ton nez ! » s’exclame-t-elle, un grand sourire maternel aux lèvres. Tu écarquilles les yeux, et en l’espace de quelques secondes, les larmes commencent à perler. Puis sans crier gare, c’est une sirène de hurlements qui se déclenche. Elle avait, en effet, pris ton nez. Et tu ne comprenais pas, et ça te faisait peur. Tu t’es calmé, peu à peu, et entre deux hoquets, Madame t’avait expliqué la magie, très rapidement, très succinctement.
Il y avait aussi Monsieur Hingsley. Plutôt strict, plutôt sévère, le genre qui fait peur aux enfants rien qu’avec un froncement de sourcils. Et il portait noblement son nom, fier de son succès et de la réussite de son entreprise, qui leur permettait un train de vie prospère.
Et puis il y a ce bébé aussi. Ce bébé avec un nom bizarre. Ces riches, ils sont tellement excentriques. Et tout le monde l’aimait, tout le monde l’entourait et la couvait. Et toi tu plissais le nez. T’aimes pas les bébés.

Tu commences à fréquenter une école privée, que Monsieur juge digne de son nom. Il te faut t’armer pour ton futur ; et puis comme ça, tu testeras l’école avant que l’enfant-miracle n’y entre à son tour. Tu reçois également une instruction privée, après les cours, pour apprendre à te tenir correctement en société, notamment dans la haute. On t’apprend peu à peu à identifier les besoins des autres avant qu’ils ne les formulent. On t’apprend à ne pas avoir un mot plus haut que l’autre. Même si t’es encore jeune, Monsieur estime que tu dois acquérir ces connaissances au plus tôt. Ugh. Comme si l’école snobinarde que tu fréquentais ne suffisait pas.
Lorsqu’elle en a l’âge, Pixel te rejoint dans cette même école. On décide, à la même époque, que tous deux feraient le trajet en voiture chaque matin, conduits par un chauffeur privé, et ce pour le confort de la demoiselle. Même si tu trouves ça agaçant, tu commences à t’habituer à elle, à la supporter. Vous grandissez et tout devient plus facile. Vous ne vous chamaillez que très peu, d’une part parce que le caractère passif de la jeune fille ne s’y prête pas, et d’autre part parce qu’une pique, une dispute, ou un mot plus haut que l’autre t’attirerait un regard noir du paternel. C’est un peu ta petite sœur, un peu une princesse, capricieuse et dépendante. Elle t’agace parfois, mais c’est le trésor de la famille. Et tu dois garder le silence.

Un peu avant d’entrer au collège, tes pouvoirs de sorcier se sont manifestés. C’était sans doute la chose à laquelle tu t’attendais le moins ; ça t’a surpris, t’as fait les yeux ronds, pas vraiment sûr de l’attitude à adopter, tandis que l’eau de la douche changeait drastiquement de couleur et de température au contact de ta peau. T’étais prêt à accuser Madame de te jouer un tour, encore une fois, mais quand tu la confrontas, celle-ci se mit à pleurer, à te serrer dans ses bras, à te répéter qu’elle était « si fière et si heureuse ». L’attitude de Monsieur Hingsley changea également à son égard ; celui-ci semblait plus à même de t’accepter au sein de leur famille.

Quand tu fus en âge d’entrer au collège, tu t’inquiétais un peu. Pixel était du genre à s’aventurer un peu partout et avait besoin d’être supervisée ; qui s’en chargerait si tu n’étais pas là ? Et tes inquiétudes étaient fondées : un soir, en rentrant des cours, tu eus la surprise d’être seul à la maison. Seule la gouvernante était présente. Celle-ci t’informa que Mademoiselle était partie, sans qu’on ait le moyen de la contacter, et que ses parents s’étaient anxieusement mis à sa recherche. Ni une ni deux, toi aussi tu te retrouves dehors, à crier son nom dans attente d’une réponse, lointaine. Et rien ne vint. On peut sans doute dire que c’est le hasard qui t’a permis de la retrouver. A peine perturbée par la panique qu’elle avait provoqué, elle s’était endormie sur un banc, dans un parc situé à environ 10 minutes à pied de chez eux.
En rentrant, elle s’est fait disputer comme jamais ; et toi Zachary, tu ne récoltais pas non plus la gloire.
« Ca va pas la tête de sortir comme ça sans prévenir ? Et s’il vous arrivait quelque chose, hein ? » et patati et patata. T’écoutais à peine les reproches qu’on vous adressait ; en fait, tu réfléchissais à toute allure à un moyen de vous savoir en sécurité tous les deux. Du haut de tes 11 ans, tu prenais déjà beaucoup de choses au sérieux. C’est pourquoi, lorsque Monsieur te demanda expressément de veiller sur sa fille, tu hochas la tête. « Comme un garde du corps » avais-tu murmuré. Tu pourrais être un héros. Et tu trouverais ça beau au point de vouloir faire allégeance aux Hingsley.

Et Monsieur semblait trouver cette décision judicieuse. Bientôt, on te fit prendre des cours de judo, lutte, entre autres. Et tu ne lâchais plus Pixel d’une semelle. Si celle-ci s’agaçait de son attitude au départ, elle s’y habitua bien vite et finit par en tirer profit. En montant dans une brouette et en lui demandant de la pousser, même en ville, par exemple.

Au collège, t’avais pas vraiment d’amis. Hormis ces incidents, tu t’en sors plutôt bien en cours, et on n’a rien à redire de tes résultats sur ton relevé de notes. L’attitude est plus problématique. Tu te bagarres un peu, parce que tu es « le chien des Hingsley » ; ça te plait pas, qu’on t’appelle comme ça. Tu te fais régulièrement remonter les bretelles à la maison, mais au fond de toi, tu te sens fier de les remettre à leur place, ces idiots. Et puis, tu sais que l’échéance arrive. Tu sais que tu vas partir pour Poudlard, si ta lettre daignait arriver. Et elle arriva.

Jour de liesse ; il fallait partir acheter tes fournitures scolaires. Et cette fois, tu avais l’impression de véritablement faire partie du même monde que ta famille adoptive. Ta baguette te choisit aisément, bien qu’on te mette en garde de son mauvais caractère. Les livres, chaudrons et robes étaient également nécessaires ; enfin, on te laissa choisir un animal de compagnie.

La première année à Poudlard se passa franchement bien. L’ambiance changeait vraiment de ce dont tu avais l’habitude, à Londres ; tu te sentais plus libre, moins coincé. Moins entouré de gamins prétentieux. Tu te fais des amis, tu apprends un tas de tour idiots, dont un qui change Musclor en souris verte ; et ça t’amuse. T’as l’impression d’avoir trouvé ta place, peu importe ton statut de né moldu, peu importe ton nom. Tu n’es pas un Hingsley, toi.
Tu reçois des lettres de Monsieur et Madame de temps en temps, et tu leur réponds presque toujours dans l’immédiat. Ce sont des courriers courts, te donnant et demandant simplement des nouvelles. Parfois, tu t’inquiètes un peu pour Pixel. Mine de rien, tu avais pris l'habitude de t'occuper d'elle et de la surveiller. Si tu n’es pas là, qui rangera sa chambre ? Qui l’accompagnera en cours ? Qui se chargera de la porter, lorsqu’elle s’endort inopinément ?

Chaque été, en rentrant à Londres, tu montres secrètement des tours à Pixel, fier de ton apprentissage, fier de ta maison, et de ce que tu peux devenir. Tu lui racontes un peu comment c’est, Poudlard, pour lui donner une idée de ses futures années là-bas. Tu lui racontes que tu ne traînes avec aucun groupe en particulier, que les cours sont spéciaux et amusants, que certains profs sont plus stricts que d’autres.
Et tu passes tes BUSE. Tu choisis un parcours.
Et tu ne mûris pas beaucoup.

Tu es maintenant en route pour ta cinquième année. Il serait peut-être temps de réfléchir à ce que tu veux faire de ta vie.




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